Jour 27, 06h02 à ma montre.
Nous étions encore en train de marcher dans ce désert quand la ville nous apparu. Quelques uns de nous, que la folie avait atteint depuis un certain temps, commencèrent à crier. Ils s'arrachaient les cheveux, ne croyant pas ce qu'il voyait, mais moi non plus je ne le croyais pas... Il fallait être sûr.
En ne comptant pas Hector qui s'était tiré notre unique balle dans la tête à la vu de la ville, nous étions 41 je crois.
Les charognards se rapprochent déjà de nous, hardi par la faim et le cadavre frais. Nous partons, mais pas à cause d'eux.
Jour 27, 10h23.
La ville était déserte comme nous l'avions tous prévu. Il semblerait avec eux.
Jour 27, 12h58.
Les choses nous ont suivit jusqu'ici, nous nous sommes barricadé mais on les entends dehors, cognant parfois sur la frêle muraille qui était érigé là. Nous décidons tout de suite de la consolider.
Jour 27, 14h18.
Des gens se proposent pour aller chercher de quoi renforcer la muraille car rien en ville ne le permet. Malgré des cris et des larmes dans la foule, ils partent. Une mère empêche son enfant pleurant de suivre son père... si ils sont ses parents.
Jour 27, 17h12.
L'enfant s'est enfin calmé, roulé en boule dans la terre depuis plus de deux heures, il sanglote au centre de la ville, à coté du puits. Sa "mère" s'est désintéressée du gosse quelques minutes après le début de sa crise.
Les cadavres des derniers occupants viennent d'être arrosé. Nous attendons toujours le retour des autres. La radio que nous avons grésille trop pour les entendre parler. Il semblerait qu'ils reviennent.
Jour 27, 22h31.
Ils sont revenus, l'un d'eux est blessé. Mordu par une de ces choses ! La plaie ne saigne plus mais est très profonde, mélangé avec du sable.. .Nous n'avons pas de pénicilline ou autre chose contre les infections. Notre médecin lui donne deux jours, tout au plus...
Jour 27, 23h49.
Ma lampe me permet d'écrire. Nous sommes tous cloîtré chez nous. Sauf un que nous avons sortis dehors, il avait tenté de prendre nos réserves de planches pour sa barricader. Cela faisait 8 minutes que nous n'entendions plus ses pardons, ils avaient été remplacé par des cris puis des gargouillis sanglant. Maintenant plus rien.
Jour 28 ??
Je ne sais pas quelle heure il est, ma montre s'est arrêtée à 00h12, je me suis réveillé. Des bruits se font entendre dans toute la ville, des gens hurlent. J'ai peur. Oh mon dieu j'ai peur. Un cauchemars, il faudrait que ce soit un cauchemar. Ils sont en train de tuer des citoyens, et ils se rapprochent. Je ne veux pas qu'ils me trouvent. J'ai peur. Oh, putain oui, j'ai peur de crever, je veux pas crever. Ils sont là je les entends, ILS SONT LA. Ils tournent autour de la maison. J'ai
Sujet: Journal d'un citoyen inconnu 
Jeu 1 Jan - 3:50